À partir d’un voyage auto-examinatoire approfondi inspiré aussi bien de Peau noire, masques blancs (Frantz Fanon, 1952), que de sa mère et d’expériences personnelles, Manu Garçia Mpasi transforme ses pensées et questions en un monologue, source de son matériel de mouvement. Vivant selon une double perspective en tant qu’Européen de la diaspora, il présente sa propre version du poids mental de cette dualité dans un contexte néocolonial.